La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel vise à faire du principe d’égalité de rémunération entre les hommes et les femmes une « obligation de résultat » pour les employeurs (loi du 5 septembre 2018).
Cet index se compose de quatre grands critères qui évaluent les inégalités entre les femmes et les hommes dans les entreprises : les écarts de rémunération, les écarts d’augmentations individuelles, le pourcentage de salariés augmentés au retour d’un congé maternité et enfin le nombre de femmes parmi les dix plus hauts salaires.
Conformément aux obligations de transparence fixées par la loi, les entreprises de plus de 50 salariés doivent publier cette information depuis le 1er mars 2020.
Au 1er mars 2022, au titre de l’année 2021 et après 2 années d’Index non calculable, notre politique salariale nous a permis d’obtenir une note globale de 58/100.
4 indicateurs ont permis d’établir cette note :
Ecart de rémunération = 14/40
Ecarts d’augmentations individuelles = 25/35
Pourcentage de salariés augmentés au retour d’un congé maternité = incalculable (pas de congés maternité sur l’exercice).
Nombre de salariés du sexe sous-représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations = 10/10
Malgré une égalité de salaire sur la population la plus nombreuse que sont les conducteurs, la surreprésentation masculine dans le secteur du transport routier explique notamment ce résultat.
